Sophie Guérin-Gasc

Henri et Sophie Guérin - Rencontres buissonnières 2019
©Didier Taillefer, 2005

J’ai été touchée par l’atmosphère amicale, par l’écoute bienveillante de toutes les personnes présentes, non seulement des « conférenciers » mais des gens les uns avec les autres !

C’était beau les chansons, les poèmes, ces pauses musicales pensées comme un complément indispensable et qui a contribué à la belle atmosphère de la journée.
Ce furent des moments de partage, de beaucoup plus qu’un savoir.
Nous nous sommes immiscés dans l’intimité de deux artistes que nous aimons.

C’est la clé, et Jacques l’a bien dit dans son introduction.
Et nous avons parlé d’eux  et lu leurs lettres, en témoins aussi, ayant partagé des moments de la vie de chacun d’eux. Et c’était vivant !

Au-delà de l’émotion du moment, qui était palpable, je porte l’espérance que ces échanges entre Claude et mon père,  leur  amitié dévoilée,  portent des fruits. Car ils nous interrogent à leur tour sur le sens d’une vocation artistique toute tournée vers l’autre, vers les autres, qui a donné sens à leurs vies, à nos vies quotidiennes.

Merci à tous ceux qui ont permis la réalisation de cette belle journée !
À tous les organisateurs, 
Aux musiciens et aux chanteurs, à Isabelle,
Au Père abbé de Cîteaux, Dom Olivier, dont la présence attentive m’a touchée.
À Jacques, à Hélène, mes compagnons de table, ce jour-là.

Merci infiniment Francine d’avoir permis tout cela et de nous avoir tous mis en relation pour renouer ou créer des nouveaux liens d’amitié qui dureront !